![Mike Oldfield - Q.E.2](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEijEZ84U19cm-Apg2dBbxzk_GnbgheSOFNwC-S-5B5VD1BmESQ5PWH03kfmbM4CK_moyVWKS6Rr_TIPtvXRIG_7mMAuQRFYreHD9djaZd8x935DMR5G9qs6AMASikegaxEgpsKUcWrBJ24/s1600/oldfield_qe2.jpg)
Prog / Electronique (Angleterre)
"Q.E.2"… un titre énigmatique et une pochette qui ne l’est pas moins. Je dois dire que son côté rustique et minimaliste m’a poussé à jeter un œil au contenu, il y a quelques années. En fait, pour dissiper tout mystère, il s’agit d’un dessin représentant une partie de la coque du Queen Elizabeth 2. Les initiales du célèbre paquebot britannique vous donnent les clefs du titre du disque.
Et pour rester dans l'aspect concept, l’album amorce un peu une trilogie avec ses successeurs : Five Miles Out & Crises, le troisième volet étant déjà chroniqué ici-même. On décèle sur chacun le morceau ‘Taurus’, développé ainsi en trois parties.
Question contenu, je pense que c’est très subjectif. Si certains trouveront Q.E.2 attachant, j’ai personnellement beaucoup du mal. Je trouve que les sons ont vraiment mal vieilli, et que les mélodies, comme les arrangements, restent souvent plats et gênants, voire un peu ridicules par moment. Les parties de guitare n’ont quant à elles que peu d’intérêt à mon sens. Au niveau des atmosphères, c’est difficile à dire, il y a un certain travail évidemment, notamment à partir de l’héritage celte, mais le rendu un peu trop « numérique » engendre une ambiance vieillotte qui met un peu mal à l’aise.
Au niveau des pièces les plus importantes du disque, ‘Taurus I’ manque quand même d’envergure malgré sa longueur, et Q.E.2 n’apporte que trop peu, si ce n’est à la fin une mélodie typique un peu compromettante hors contexte. Parmi d’autres moments un tantinet encombrants, on note ‘Mirage’, sans grand intérêt, et ‘Arrival’, la reprise d’ABBA. Je n’ai par ailleurs jamais vraiment réussi à accrocher à ‘Sheba’, dont la mélodie me paraît de plus en plus insurmontable. À part ‘Conflict’ que j’épargnerais éventuellement, l’ensemble reste globalement un peu inoffensif, avec toujours cette atmosphère musicale étrange, un peu surannée, un peu nostalgique, on ne sait pas trop. Difficile d’y prendre part quand on est réfractaire au style. En tout cas, de mon côté, j’ai capitulé.
Note : 2/6
Et pour rester dans l'aspect concept, l’album amorce un peu une trilogie avec ses successeurs : Five Miles Out & Crises, le troisième volet étant déjà chroniqué ici-même. On décèle sur chacun le morceau ‘Taurus’, développé ainsi en trois parties.
Question contenu, je pense que c’est très subjectif. Si certains trouveront Q.E.2 attachant, j’ai personnellement beaucoup du mal. Je trouve que les sons ont vraiment mal vieilli, et que les mélodies, comme les arrangements, restent souvent plats et gênants, voire un peu ridicules par moment. Les parties de guitare n’ont quant à elles que peu d’intérêt à mon sens. Au niveau des atmosphères, c’est difficile à dire, il y a un certain travail évidemment, notamment à partir de l’héritage celte, mais le rendu un peu trop « numérique » engendre une ambiance vieillotte qui met un peu mal à l’aise.
Au niveau des pièces les plus importantes du disque, ‘Taurus I’ manque quand même d’envergure malgré sa longueur, et Q.E.2 n’apporte que trop peu, si ce n’est à la fin une mélodie typique un peu compromettante hors contexte. Parmi d’autres moments un tantinet encombrants, on note ‘Mirage’, sans grand intérêt, et ‘Arrival’, la reprise d’ABBA. Je n’ai par ailleurs jamais vraiment réussi à accrocher à ‘Sheba’, dont la mélodie me paraît de plus en plus insurmontable. À part ‘Conflict’ que j’épargnerais éventuellement, l’ensemble reste globalement un peu inoffensif, avec toujours cette atmosphère musicale étrange, un peu surannée, un peu nostalgique, on ne sait pas trop. Difficile d’y prendre part quand on est réfractaire au style. En tout cas, de mon côté, j’ai capitulé.
Note : 2/6
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire